• Aestiam
  • >
  • Article
  • >
  • Comment financer les études de ses enfants avec la SCPI ?
Article
Publié le 21 octobre 2022

Comment financer les études de ses enfants avec la SCPI ?

La SCPI peut aussi répondre à cet objectif patrimonial crucial dans la vie de vos enfants !

Partager sur

AESTIAM | L'épargne immobilière engagée | chapeau etudiants -

La rentrée, un moment charnière de l’année pour les écoliers, les étudiants mais aussi pour leurs familles et qui se prépare bien en amont pour plus de sérénité. Mais qui dit rentrée dit financement d’école, qui peut représenter un coup substantiel pour les parents. Voyons ensemble comment la SCPI peut être une solution adaptée pour financer les études de ses enfants !


Comment financer les études supérieures de ses enfants ?

Sur le mois de septembre dernier, plus de 3 millions d’étudiants ont fait ou leur rentrée dans l’enseignement supérieur, un chiffre qui ne cesse d’augmenter d’année en année. Le début d’une nouvelle aventure stimulante pour tous nos étudiants mais également synonyme de dépenses conséquentes, qu’il s’agisse des frais de scolarité – lesquels peuvent atteindre 10 000 € par an pour une école de commerce ou d’ingénieurs – ou des frais annexes tels que le logement. 

Heureusement, il existe des moyens efficaces pour financer les études de vos enfants et petits-enfants et aborder sereinement cette étape clé. L’investissement en SCPI constitue ainsi une solution de financement qui s’adapte à vous, à vos besoins et évolue avec votre situation et vos objectifs patrimoniaux.

Le financement des études supérieures peut ainsi être anticipé dès les plus jeunes années – et même avant la naissance ! – des enfants grâce à la SCPI.

L’acquisition de parts de SCPI en nue-propriété, solution idéale pour financer les études de ses enfants ?

Il est possible d’utiliser le mécanisme encore peu connu de démembrement temporaire des parts, qui permet de bénéficier de l’effet de levier. Il est ainsi possible d’acquérir la nue-propriété de parts de SCPI dont la durée ira jusqu’au commencement des études supérieures. Cette option permet un avantage fiscal, puisque le nu-propriétaire n’est pas soumis à l’IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière), tandis que l’investissement se fait à une décote avantageuse par rapport à la pleine-propriété, permettant d’acquérir davantage de parts pour un même montant. Au terme de la durée du démembrement temporaire, prédéfinie contractuellement, l’usufruit s’éteint sans frottement fiscal et le nu-propriétaire devient plein-propriétaire du bien dont il peut disposer librement et percevoir les dividendes.

La donation d’usufruit temporaire de parts de SCPI, le compromis optimal ?

Pour ceux qui détiennent déjà des parts de SCPI et souhaitent faire bénéficier leurs enfants de revenus complémentaires durant leurs études supérieures, il est possible de faire une donation d’usufruit temporaire des parts.

Prenons l’exemple de Mr et Mme Dupont, 50 ans, mariés sous le régime de la communauté légale, avec deux enfants de 20 et 18 ans. Ils sont propriétaires de leur résidence principale et disposent de 428 000 € de capital en SCPI, qui leur rapporte un dividende versé de 19 000 € par an. Afin de financer les études supérieures de leurs deux enfants, qui s’élèvent à 30 000 € par an, leur conseiller leur suggère de détacher les enfants du foyer fiscal – avec pour conséquence de verser une pensions alimentaire déductible par enfant détaché – et de leur donner l’usufruit temporaire des parts sur 10 ans.  Ce mécanisme de démembrement temporaire permet aux parents de ne plus être soumis à l’IFI s’ils l’étaient et généralement d’alléger le poids de la fiscalité du foyer. En effet, les enfants en tant qu’étudiants supporteront un TMI moins important que celui de leurs parents. A l’extinction de l’usufruit, Mr et Mme Dupont retrouveront la pleine propriété de leurs parts – sans frais supplémentaire et sans frottement fiscal –  ainsi que les dividendes versés par les SCPI.

Rappelons que la solution du démembrement n’est pas pertinente pour tous et dépend principalement du profil fiscal des parents et enfants concernés par ce mécanisme. 

La SCPI peut également servir à préparer et financer votre retraite. Pour tout savoir de ces mécanismes, rendez-vous sur notre article dédié via ce lien

Votre conseiller AESTIAM se tient à votre disposition pour faire le point et explorer les solutions les plus adaptées à votre situation particulière. 

L’investissement en SCPI implique différents risques : un risque de perte en capital lié à l’absence de remboursement du capital initial, un risque de liquidité en cas de demande de retrait qui ne serait pas compensée par des souscriptions, un risque de baisse de la valeur de l’actif due à la variation des marchés immobiliers, un risque de gestion discrétionnaire lié à la sélection d’investissement moins performant, un risque de rendement lié au taux d’encaissement des loyers. Ces risques sont détaillés dans la note d’information disponible dans la rubrique Documentation.

Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’ensemble des documents contractuels et nécessaires à la réalisation d’une souscription (Statuts, note d’information, DIC, rapport annuel et bulletin trimestriel) sont disponibles dans la rubrique Documentation. Dans tous les cas, si vous souhaitez souscrire, prenez contact avec votre conseiller habituel. La SCPI est un support d’investissement en immobilier dont la durée de détention recommandée est de 10 ans.

Actualités en relation

Agir dans la lutte contre le réchauffement climatique : quel rôle pour le secteur du bâtiment ?
Alexis Bulckaert, notre analyste RSE et Développement Durable, a étudié...
Climat et aléas naturels : comment le secteur de l’immobilier peut-il s’adapter ?
Alexis Bulckaert, notre analyste RSE et Développement Durable, s’est penché...
Comment exploiter le potentiel des communes périurbaines ?
L'équipe d'AESTIAM s'est associée à une chercheuse pour développer un...

L’épargne qui vous ressemble